« Nature morte » : différence entre les versions
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J'arrivais à Cherbourg en automne. La première impression de Cherbourg par une étrangère était le vent, la pluie, l’atmosphère gris et l’odeur de la mer. La pluie de septembre était continuer, la ville est petite et les habitants se cachent au-dessous du toit pour éviter la pluie ennuyeuse. La météo n’était pas gentille et j’avais de l’angoisse et de la solitude. <br /> | J'arrivais à Cherbourg en automne. La première impression de Cherbourg par une étrangère était le vent, la pluie, l’atmosphère gris et l’odeur de la mer. La pluie de septembre était continuer, la ville est petite et les habitants se cachent au-dessous du toit pour éviter la pluie ennuyeuse. La météo n’était pas gentille et j’avais de l’angoisse et de la solitude. <br /> | ||
En entendant la sonore de la pluie, j’ai fait du tour de la ville. Elle était dans en silence sous la bourrasque de pluie et il y avait presque personne qui marche dans la rue. Quand je me suis senti que je suis la dernière personne qui reste dans le monde, la mer était là. J’avais peur de l’air lourd. Elle avait l’air de violant, bleu, gris et si froid. Il semble que je suis au bout du monde et à la fin du monde.<br /> | En entendant la sonore de la pluie, j’ai fait du tour de la ville. Elle était dans en silence sous la bourrasque de pluie et il y avait presque personne qui marche dans la rue. Quand je me suis senti que je suis la dernière personne qui reste dans le monde, la mer était là. J’avais peur de l’air lourd. Elle avait l’air de violant, bleu, gris et si froid. Il semble que je suis au bout du monde et à la fin du monde.<br /> | ||
:j’installe un phare lourd qui brille pas, avec la nature qui n'est pas vivant. Les gens sont venus pour vivre sur cette territoire menacée par la nature et envahisseur. On a la mer froide et les montagnes au derrière de nous, et on se met à plat ventre sous le phare. <br /> | |||
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Dernière version du 22 mai 2014 à 15:56
J'arrivais à Cherbourg en automne. La première impression de Cherbourg par une étrangère était le vent, la pluie, l’atmosphère gris et l’odeur de la mer. La pluie de septembre était continuer, la ville est petite et les habitants se cachent au-dessous du toit pour éviter la pluie ennuyeuse. La météo n’était pas gentille et j’avais de l’angoisse et de la solitude.
En entendant la sonore de la pluie, j’ai fait du tour de la ville. Elle était dans en silence sous la bourrasque de pluie et il y avait presque personne qui marche dans la rue. Quand je me suis senti que je suis la dernière personne qui reste dans le monde, la mer était là. J’avais peur de l’air lourd. Elle avait l’air de violant, bleu, gris et si froid. Il semble que je suis au bout du monde et à la fin du monde.
- j’installe un phare lourd qui brille pas, avec la nature qui n'est pas vivant. Les gens sont venus pour vivre sur cette territoire menacée par la nature et envahisseur. On a la mer froide et les montagnes au derrière de nous, et on se met à plat ventre sous le phare.





