« Carte mentale » : différence entre les versions
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Version du 4 avril 2013 à 21:52
LE SUJET
C'est la réunion de plusieurs éléments qui m'a permis d'aboutir au choix de mon sujet.
- La découverte de "L'Atlas interactif - Le paysage mondial des villes" dévellopé par les étudiants de l'école d'architecture de Malaquais et Jean Attali et surtout la page sur Chengdu (« le Pays du Ciel») où "démographie" est devenu "démorgraphie". Ce petit "r" ajoute une part non négligeable à la poétique du langage et de l'imagination et sous-tend une vision du territoire.
- L'intervention de Nils Le Bots qui a dévellopé une approche par couche du territoire de la presqu'île dans laquelle j'ai retenu les concepts d'anthropisation et de palimpseste; c'est à dire l'action de l'homme sur l'environnement et son empreinte dans le temps.
- Mon intérêt pour le travail de Franz Ackermann et ses "Mental mapps"[1]
- La possibilité de travailler en collaboration avec un groupe de géographes intéressés par ce sujet dans leur propre travail.
DEFINITION
« La carte mentale est une technique graphique reflétant une réalité subjective de l’espace, c’est-à-dire la façon dont un individu se représente une portion d’espace »
Servane Gueben-Venière, EchoGéo n°17,2011.
LE PROJET
Le projet s'articule autour du rapport sensitif au territoire des personnes évoluant sur la presqu'île. Pour ce faire un micro-trottoir a été réalisé autour des sens avec une différenciation présent/futur. Il s'avère que les réponses varient en fonction de ceux qui vivent le territoire au quotidien et ceux qui le visitent. Pourtant les visions d'avenir se rejoignent.
Au niveau de la réalisation, je souhaite prendre en compte deux critéres : le vécu de l'espace géographique et la vision de son évolution dans le temps. Pour cela je compte m'appuyer sur l'idée de passage d'un espace (géographique et/ou mental) vers un autre.
REFERENCES
- ↑ Clarie Laborey, L'Art & la Manière : Franz Ackermann ,2010


