« D’ici à là-bas... » : différence entre les versions
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À travers ce projet, j’ai voulu mettre en relation deux presqu’îles qui me tiennent à coeur : celle de Caen, où je vis et étudie actuellement, et celle de Nouméa d’où je me sens originaire. Le lien qui les unit, c’est moi. À travers la projection de mon visage qui se crispe et forme un paysage particulier, les deux cartographies viennent s’insinuer dans les lignes de la peau. | À travers ce projet, j’ai voulu mettre en relation deux presqu’îles qui me tiennent à coeur : celle de Caen, où je vis et étudie actuellement, et celle de Nouméa d’où je me sens originaire. Le lien qui les unit, c’est moi. À travers la projection de mon visage qui se crispe et forme un paysage particulier, les deux cartographies viennent s’insinuer dans les lignes de la peau. | ||
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• Dessin d’un format de 1X1 mètre. Projection (avec vidéo-projecteur) de la même taille, par dessus. | • Dessin d’un format de 1X1 mètre. Projection (avec vidéo-projecteur) de la même taille, par dessus. | ||
Version du 18 février 2013 à 00:46
À travers ce projet, j’ai voulu mettre en relation deux presqu’îles qui me tiennent à coeur : celle de Caen, où je vis et étudie actuellement, et celle de Nouméa d’où je me sens originaire. Le lien qui les unit, c’est moi. À travers la projection de mon visage qui se crispe et forme un paysage particulier, les deux cartographies viennent s’insinuer dans les lignes de la peau.
Projet final :
• Dessin d’un format de 1X1 mètre. Projection (avec vidéo-projecteur) de la même taille, par dessus.
• Situé près d’une fenêtre (escalier bâtiment B, 3° étage) d’où l’on peut voir le viaduc de Calix.
• Texte explicatif d’environs 300 caractère et carnet de recherches.
• Une référence au travail des géographes.