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  J'arrivais à Cherbourg en automne. La première impression de Cherbourg par une étrangère était le vent, la pluie, l’atmosphère gris et l’odeur de la mer. La pluie de septembre était continuer, la ville est petite et les habitants se cachent au-dessous du toit pour éviter la pluie ennuyeuse. La météo n’était pas gentille et j’avais de l’angoisse et de la solitude. En entendant la sonore de la pluie, j’ai fait du tour de la ville. Elle était dans en silence sous la bourrasque de pluie et il y avait presque personne qui marche dans la rue. J’avais peur de l’air lourd. Quand je me suis sentie que je suis la dernière personne qui reste dans le monde, la mer était là. Elle avait l’air de violant, bleu, gris et si froid. Je sentais que je suis au bout du monde et à la fin du monde.
  J'arrivais à Cherbourg en automne. La première impression de Cherbourg par une étrangère était le vent, la pluie, l’atmosphère gris et l’odeur de la mer.<br />
La pluie de septembre était continuer, la ville est petite et les habitants se cachent au-dessous du toit pour éviter la pluie ennuyeuse. <br />
La météo n’était pas gentille et j’avais de l’angoisse et de la solitude. <br />
En entendant la sonore de la pluie, j’ai fait du tour de la ville. <br />
Elle était dans en silence sous la bourrasque de pluie et il y avait presque personne qui marche dans la rue.<br />
J’avais peur de l’air lourd.<br />
Quand je me suis sentie que je suis la dernière personne qui reste dans le monde, la mer était là. <br />
Elle avait l’air de violant, bleu, gris et si froid. Je sentais que je suis au bout du monde et à la fin du monde.


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Version du 22 mai 2014 à 15:20

J'arrivais à Cherbourg en automne. La première impression de Cherbourg par une étrangère était le vent, la pluie, l’atmosphère gris et l’odeur de la mer.
La pluie de septembre était continuer, la ville est petite et les habitants se cachent au-dessous du toit pour éviter la pluie ennuyeuse.

La météo n’était pas gentille et j’avais de l’angoisse et de la solitude.
En entendant la sonore de la pluie, j’ai fait du tour de la ville.
Elle était dans en silence sous la bourrasque de pluie et il y avait presque personne qui marche dans la rue.

J’avais peur de l’air lourd.
Quand je me suis sentie que je suis la dernière personne qui reste dans le monde, la mer était là.

Elle avait l’air de violant, bleu, gris et si froid. Je sentais que je suis au bout du monde et à la fin du monde.