« Ces trajets qui nous marquent » : différence entre les versions
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L’idée que j’ai voulu évoquée est celle du trajet quotidien. Pour cela je me suis inspirée du trajet que je devais faire il y a deux ans pour me rendre à ma prépa à Paris. 1h30 de voyage, le matin et le soir: voiture, bus, train, métro. Ces transports en commun étaient devenus mon quotidien. Depuis que je suis à Caen, mon trajet dure 7 minutes, et je le fais en vélo, en longeant l’Orne. C’est ce paradoxe entre mes deux quotidiens que je vais tenter d’illustrer à travers mes découpages et mon installation. | L’idée que j’ai voulu évoquée est celle du trajet quotidien. Pour cela je me suis inspirée du trajet que je devais faire il y a deux ans pour me rendre à ma prépa à Paris. 1h30 de voyage, le matin et le soir: voiture, bus, train, métro. Ces transports en commun étaient devenus mon quotidien. Depuis que je suis à Caen, mon trajet dure 7 minutes, et je le fais en vélo, en longeant l’Orne. C’est ce paradoxe entre mes deux quotidiens que je vais tenter d’illustrer à travers mes découpages et mon installation. | ||
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Version du 25 février 2013 à 22:05
Idée de base
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Description 1
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Description 2
L’idée que j’ai voulu évoquée est celle du trajet quotidien. Pour cela je me suis inspirée du trajet que je devais faire il y a deux ans pour me rendre à ma prépa à Paris. 1h30 de voyage, le matin et le soir: voiture, bus, train, métro. Ces transports en commun étaient devenus mon quotidien. Depuis que je suis à Caen, mon trajet dure 7 minutes, et je le fais en vélo, en longeant l’Orne. C’est ce paradoxe entre mes deux quotidiens que je vais tenter d’illustrer à travers mes découpages et mon installation.
Projet
Mon projet consiste à représenter le trajet quotidien et c'est à travers l'art de la découpe que j'ai décidé de m'exprimer. Celui-ci s'articule autour de deux cartes découpées: Paris et Caen, respectivement à une petite et grande échelle, chacune sur un format d'1m2. Il sera sûrement accompagné:
- d’une vidéo en stop motion de l’évolution découpée de mon trajet de Marly le Roi à Paris et de mon appartement à l’Esam à Caen.
- d’un texte d’une quinzaine de lignes expliquant mon intention.
- d'extraits de mon carnet de recherche, et de mes références.
Installation au coeur de l'ESAM
Pour ce qui concerne la mise en espace de ce projet, je pense aux nombreux avantages qu'offre l'art de la découpe: la transparence, le plein, le vide, la lumière et les ombres... C'est pourquoi pour le moment je souhaiterais mettre littéralement en parallèle les deux découpages géants. En placer un devant l'autre, dans un endroit de passage de manière à pouvoir l'observer sous tous les angles. Je pense à l'atrium, en haut de l'escalier qui mène à la cafétéria. Un stop motion de mon trajet en découpe défilera à côté de l'installation, et j'accrocherai probablement quelques recherches sur une cimaise à côté également.